PNL – Article La réussite ne vient pas seule – Pensées, croyances et comportements

La réussite ne vient pas seule – Pensées, croyances et comportements

 

Par Isabelle David

« CITATION »

La réussite en affaires ne vient pas seule. Elle est le résultat de multiples collaborations, affiliations, partenariats et de contacts avec des clients, amis et collègues. Elle ne vient pas seule non plus, car elle demande des dépassements de soi, des changements de cap, des capacités d’adaptation tout en gardant la vision.

Changement de pensées, de croyances et de comportements

Je ne savais pas cela quand j’ai démarré ma première entreprise de formation à l’âge de dix-huit ans! J’avais la fougue, la passion d’enseigner et de transmettre une vision déjà assez claire d’où je souhaitais me rendre : rejoindre le plus d’individus possible sur la planète qui désirent être de meilleures personnes. Je voulais les aider à atteindre leurs objectifs en éliminant tous les blocages, en améliorant la communication avec soi et les autres et en installant toutes les ressources nécessaires. Mon but ultime était d’offrir des outils de mieux-être à tous ceux et celles qui cheminent dans la réalisation de leur mission sur terre pour faciliter l’atteinte du bonheur. Eh oui, rien que cela ! Ce qui pouvait paraître prétentieux aux yeux de certaines personnes, provenant de la jeune adulte que j’étais, devient aujourd’hui une inspiration et une motivation pour plusieurs qui se rallient à cette vision.

Durant mes premières années en tant que femme d’affaires (même si ce titre ne collait pas à ma réalité de l’époque), j’ai assez rapidement réalisé que je n’arriverais pas seule au bout de ma vision et qu’il me faudrait rallier d’autres personnes inspirées dans cette aventure. De plus, n’ayant pas le désir de porter un tel projet seule, mais bien de créer un réseau d’accompagnants, de coachs, de thérapeutes et d’enseignants, ayant le désir d’aider l’être humain à se reconnecter avec ses forces et à dépasser ses limites, j’ai cherché des affiliations, partenaires et collaborateurs. Et j’en ai attiré, car plusieurs savent qu’on attire ce que l’on demande. Oui, j’en ai bien attiré de toutes sortes, car mon manque d’expérience du début limitait ma lucidité et ma sagesse du discernement. Je voulais à tout prix que les choses se mettent en place et le « à tout prix » a rapidement pris tout son sens… À travers tout cela, je cherchais à retrouver « ma grande famille ». Mais comment faire pour retrouver ces groupes qui collectivement, mais aussi ces personnes qui individuellement, partagent des valeurs communes ?

Amoureuse de disciplines aidant à atteindre la maîtrise de soi, j’étais déjà formée en yoga, je me suis alors inscrite à des formations me permettant de suivre les enseignements de diverses approches d’accompagnement et de développement de soi. Ceci m’a menée à l’âge de vingt ans à découvrir mes passions : la Programmation neurolinguistique (PNL) et l’Hypnose Ericksonienne qui, plus de 30 ans plus tard, demeurent encore fortement enracinées en moi.

C’est à travers les différentes formations et ateliers que j’ai suivis, que j’ai rencontré des personnes ayant une vision de profondeur. C’est de cette manière que j’ai rejoint au début plusieurs collaborateurs. Ce fut aussi le commencement d’une grande aventure : celle de mes apprentissages d’affaires et de travail. Mais ce que j’ai découvert plus tard, c’est que tout cela n’était en fait qu’une grande leçon de vie sur les relations humaines et une meilleure compréhension des fonctionnements et façons de faire de cette espèce vivant sur terre.

Ce n’est pas que j’étais à ce point déconnectée de la réalité, que je flottais sur un nuage, mais étant fille unique, je n’avais pas appris à gérer certaines situations conflictuelles. De plus, mes parents ayant immigré au Québec alors que je n’avais que quatre ans, je n’ai pas eu de contacts fréquents avec les autres membres de ma famille demeurés à l’étranger, ce qui ne m’a pas préparée à échanger facilement avec les autres. Par conséquent, mes forces de socialisation et de communication n’étaient pas optimales ! C’est bien pour cela que la vie s’est chargée de me faire développer des compétences-clés me permettant de passer par-dessus des épreuves, des situations difficiles, stressantes et autres obstacles en tout genre.

Ayant fondamentalement confiance en l’être humain, mais étant très timide, naïve à souhait et bonasse par surcroît, ces expériences m’ont fait passer d’un état de joie et de gratitude immense au plus grand désespoir. Je ne cache pas que je n’étais pas préparée à la réalité du monde des affaires étant par nature orientée vers le don de soi. J’ai dû apprendre, mais pas toujours rapidement, à me respecter, à faire avancer les projets, à vivre de mon entreprise, à rentabiliser, à « marketer », etc.

Mon premier défi de taille était de faire entrer des sous dans l’entreprise. Même si, dès le démarrage, j’avais le désir de réussir à vivre financièrement de mon travail, ma philosophie personnelle et professionnelle orientée humaniste avait besoin d’ajustement du type « traitement-choc de la réalité ». J’ai eu ce choc nécessaire par une confrontation de croyances, la mienne et celle provenant d’amis : que l’on ne devrait jamais demander de l’argent pour les services offerts en relation d’aide et de mieux-être. J’ajouterais qu’en plus de cet avis, ils étaient convaincus que facturer pour ces services nuisait à la qualité du travail accompli et de la relation établie.

J’étais tombée de ma chaise qui elle-même était tombée de plusieurs étages! J’ai vécu un rejet total de mon groupe de pairs en terme d’incompréhension de mes besoins, à savoir que tout travail a droit à une rémunération. Pourtant, « eux » recevaient de l’argent de leur employeur pour les heures travaillées durant la semaine. Pourtant, certains travaillaient à leur compte et vendaient des produits ou services. Alors pourquoi moi je devrais le faire bénévolement et vivre dans la pauvreté la plus profonde ? Quelle déception !

N’étant pas multimillionnaire, ne provenant pas d’une famille riche, n’ayant pas gagné à la loterie et n’ayant pas de mécène en vue, je ne disposais pas de réserve financière pour pouvoir offrir mes services gratuitement toute ma vie. Je ne pouvais aucunement m’imaginer qu’il fallait vivre dans le dénuement financier pour donner le meilleur de soi-même aux autres. Révoltée et indignée, mais aussi poussée par le besoin de payer mes comptes, j’ai dû me résigner à quitter ces « amis » puisque j’étais totalement en conflit avec leurs opinions. Mais ils n’étaient pas les seuls à penser ainsi.

Certains clients se plaignaient du tarif des sessions. Je baissais le prix des ateliers que j’animais pour m’assurer que ce soit acceptable pour les participants. Bref, je sous-estimais la valeur des services que j’offrais, car quelque part en moi, j’avais également intégré en partie cette croyance. Je voulais croire que j’étais quelqu’un de bien, et pour cela, je devais être généreuse, en sous-entendu, de mon temps et de mon énergie, mais surtout et avant tout de mon argent. Pourtant, une partie de moi voulait et savait qu’on peut très bien demander une somme raisonnable pour un travail accompli. Mais il y avait le mot « raisonnable ». Quel montant est raisonnable : 10 $, 50 $ ou plus ou moins ? J’ai compris alors que je n’étais pas dans le bon milieu, que le système de valeurs et croyances de ce milieu était très différent de celui du monde des affaires, et que je ne deviendrais jamais une bonne femme d’affaires si je n’arrivais pas à facturer mes clients. Par contre, je savais que malgré tout, j’aimais ce milieu et je désirais conserver le meilleur de ce monde.

Cependant, cette croyance était bien enracinée en moi comme une mauvaise herbe qui repousse continuellement. Je pensais l’avoir arrachée, mais la racine était restée en terre. Je me sentais tellement mal à l’aise de me faire rétribuer pour mes services qu’il arrivait fréquemment que je laisse partir le client sans lui demander de paiement. Par la suite, je m’en voulais de ne pas avoir réclamé mon dû. J’étais aux prises avec un grave conflit intérieur et cela en devenait ridicule.

Pour finir, le client me rappelait, tout mal à l’aise lui aussi d’avoir omis de me payer. Mon malaise contaminait mes clients !  Ou encore, ces fois où enfin, à la fin de la rencontre, je rappelais au client le montant de mes honoraires — ce qui me rendait fière de moi.

Mais quelques jours plus tard, le chèque rebondissait, sans provisions… Ah non ! Devoir réclamer mon dû, quelle horreur ! Mon attitude me ramenait constamment à cette difficulté de demander et de recevoir. C’est alors que j’ai consciemment décidé, même si cela était difficile pour moi, de faire ce que toute personne qui réussit en affaires fait, c’est-à-dire se faire payer pour ses services, ce qui est tout à fait normal et légitime. J’ai eu quelques rechutes, mais pas longtemps. J’avais finalement bien compris le principe cette fois-ci. Et je suis devenue une heureuse victime de ma réussite…

Avec le temps vint alors le défi de répondre à la demande, car demande il y avait ; elle était même énorme tant il y avait des besoins. Je me suis retrouvée dans une situation de surcharge de travail, incapable de répondre aux besoins de tous. J’avais absolument besoin d’aide. Et j’en ai eu : d’abuseurs, de profiteurs, de personnes voyant mon potentiel et voyant surtout les revenus pour eux ! En somme, plusieurs renifleurs de bonnes affaires se sont présentés. Heureusement, il n’y avait pas que cela. Mais en réponse à mon cri de désespoir, « au secours venez m’aider, je n’en peux plus! », je naviguais dans une jungle, où « le n’importe quoi » régnait en maître.

Plus je demandais de l’aide et plus je me faisais avoir, plus je me faisais avoir et plus j’avais besoin d’aide. Un cercle infernal s’était installé. Je n’avais pas su m’attirer les bonnes personnes, car en rétrospective, je pourrais dire que je ne cherchais pas les bonnes personnes, mais plutôt n’importe qui voulant m’aider ! Mes critères de choix étaient à peu près inexistants et basés surtout sur l’urgence de la situation.

À titre d’exemple, j’avais besoin d’un comptable, et un ami m’en recommande un qu’il connaît. Quelques mois plus tard, voilà qu’il disparaît sans prévenir, emportant évidemment, tous mes papiers que je lui avais confiés pour faire le bilan de l’année, etc. Non seulement je me retrouve sans comptable — même pas agréé contrairement à ses prétentions, mais aussi sans documents à fournir pour mes déclarations de revenus. Quel casse-tête! C’est le moyen parfait pour apprendre à mieux gérer un stress déjà élevé et de travailler moins ! Je possédais l’art de me mettre dans ce genre de situation : les pieds dans les plats… tout comme dans des situations avec des partenaires d’affaires qui ont virées au vinaigre, même si j’aime les cornichons !

Aujourd’hui, je relativise toutes ces expériences en comprenant que j’avais à grandir et à évoluer. Je me dis que ces vécus font de moi une meilleure personne ; ça, c’est ma mission appliquée à moi-même. N’est-ce pas génial ? Désormais, je comprends mieux ce qui se cache derrière ces vécus, quelle est leur signification, et je peux maintenant ramener toutes ces expériences à moi-même. Je pense, par exemple, à ce partenaire qui me mentait et qui m’exaspérait. La relation était difficile depuis plusieurs années, mais la goutte qui fit déborder le vase, c’est qu’il niait entièrement tous ses agissements sournois. Ce qui a fait sauter mon bouchon, c’est le manque de respect envers moi et mon entreprise ainsi que la lâcheté de ne pas dire la vérité. Alors, en bon stratège, j’ai attendu le règlement des comptes dus et à recevoir. Puis je lui ai ensuite signifié notre rupture d’association.

Et là, j’ai percuté ! Tout devenait tellement clair ! J’étais dans le jeu de la femme qui est trompée par son mari, qui, malgré les faits et les preuves, s’obstinait à tout nier. Oui, c’était bien le piège dans lequel je m’étais laissée prendre, pour finalement m’en sortir. J’ai alors entrepris une grande réflexion sur les apprentissages et les raisons de cette expérience douloureuse, tout comme sur d’autres épisodes vécus au fil des années.

Voilà ce que je dois apprendre : à ne pas accepter ce qui ne me convient pas ; à ne pas rester dans une relation d’affaires, même si elle est profitable financièrement, mais tellement dommageable au point de vue personnel. J’ai réalisé à quel point j’avais fait beaucoup de choix pour mon entreprise, en mettant de côté la femme et l’employée que j’étais. Si j’avais travaillé pour une autre entreprise, je n’aurais pas accepté de contrats d’un client dont les façons de faire ne me convenaient pas. Pourtant, c’est ce que j’ai fait dans mon entreprise. De plus, je n’aurais jamais mis en danger l’un de nos formateurs en le laissant chez un client qui ne lui correspondait pas, avec lequel il se sentait mal. Cependant, je l’ai fait pour moi ! Oui, j’avais beaucoup à apprendre et cette relation d’affaires difficile m’a permis de le faire.

Cela faisait un bon bout de temps que je savais que la relation était malsaine, mais je m’y accrochais. Comme cette femme qui est bafouée dans ses valeurs de fidélité, mais qui nourrit l’espoir que les choses vont se replacer et qui ne baisse pas les bras devant les difficultés. « Un couple a ses hauts et ses bas, mais nous allons y travailler », dit-elle pour se justifier. Oui, mais moi, j’avais oublié que pour cela il faut être deux ! Alors tant mieux s’il m’a trahie, menti, etc. Cela m’a permis de savoir où sont les limites, mes limites.

Je sais que je n’ai pas besoin de rester dans une relation pour cette raison, même si les biens du couple sont imposants. Je me dois à moi-même le respect de ne plus subir ce que je sais ne pas être bon pour moi. Vive le divorce qui amène la paix intérieure et la joie de se choisir ! Aujourd’hui, j’ai compris que je n’ai plus besoin de passer par ces épreuves déchirantes de dénigrement et de mensonges. Ouf ! Cela fait du bien !

Je réalise que j’ai une trop grande tolérance à la souffrance, car je la côtoie souvent chez les gens autour de moi de par mon métier. Accueillir la douleur de l’autre ne signifie pas d’avoir à vivre de telles expériences soi-même. Pourtant, je savais tout cela avec ma tête, mais j’avais besoin de l’intégrer dans mes tripes. C’est désormais fait.

Cette expérience m’a permis d’analyser plusieurs collaborations, affiliations et partenariats vécus à travers le temps. Plusieurs encore actifs, d’autres terminés. Je cherchais le lien entre toutes ces expériences difficiles lorsque je me suis rendue compte qu’elles se transposaient toutes en métaphore de couple. Il est vrai que j’avais déjà entendu dire qu’en affaires, il faut bien choisir ses partenaires, car c’est comme un mariage. Je crois que j’ai dû m’imbiber, sans le savoir consciemment, de cette métaphore pendant des années pour me rendre compte aujourd’hui de sa puissance et de sa nuisance dans ma vie professionnelle.

J’ai eu droit à la totale en terme d’expérience métaphorique de couple dans mes relations d’affaires. En voici quelques exemples :

– La femme qui est jalouse, car ses amis aiment plus son conjoint qu’elle. Elle ne veut aucun contact de ses amis avec son conjoint si elle n’est pas présente, car elle a peur de perdre ses amis (un partenaire jaloux, ce n’est pas génial !).

– L’homme invite les amis communs à une fête, mais sans aviser sa femme et ce n’est pas une « surprise party », mais l’annonce de sa rupture, alors que sa femme ne le sait même pas (c’est chouette d’apprendre cela par des clients!).

– La femme séparée qui parle constamment de divorce, mais ne le fait jamais, laissant le nouvel amoureux entre l’arbre et l’écorce (les conflits entre propriétaires de la même entreprise ne sont pas faciles à gérer lorsqu’on embarque comme partenaire).

– L’homme alcoolique, sachant qu’il veut quitter sa femme, qui met de l’argent lui appartenant à elle dans un autre compte, sans le lui dire afin qu’elle ne puisse y avoir accès. Il part avec l’argent du couple (“Adios” argent reçu des clients et payé au partenaire qui prend la fuite !).

– L’homme joueur compulsif qui flambe la paye du jeudi et qui revient à la maison sans un sou pour payer les comptes (beaucoup de recouvrement de comptes à venir pour récupérer l’argent déjà encaissé par le partenaire joueur, mais jamais payé à celui qui a fait la prestation).

– Un engagement de fiançailles du frère de l’ancien marié avant la fin du divorce (un nouveau partenariat presque incestueux, car les entreprises compétitrices sont très proches l’une de l’autre. De plus, il débute, alors que l’autre est terminé, mais pas entièrement résolu).

– Le futur mari qui fait le projet d’une lune de miel dans les Antilles à sa promise, mais qui a réservé les billets d’avion avec quelqu’un d’autre (tant de temps passé en négociation et en attente de réponses qui n’arrivent jamais, car il y d’autres enjeux non avoués).

– Le mariage de convenance et de raison, sans affinité et sans amour.

Bon, je crois que j’ai fait le tour de la question ! Et je laisse aller à tout jamais cette analogie. D’autant plus que, dans ma vie privée, je suis heureuse avec mon conjoint depuis des lustres. Je retiens en termes d’apprentissages de vie qu’une collaboration d’affaires n’est qu’un lien qui unit deux entreprises dans le but d’atteindre et de réaliser un objectif commun, et ce, dans un temps donné. Le plaisir et la joie que j’ai à collaborer avec des personnes au sein de cette aventure sont un privilège que je chéris de plus en plus. La facilité d’échanges, le respect et la confiance restent des valeurs sûres, baromètre et indicateurs de la relation.

Aujourd’hui, je prends aussi plus le temps d’échanger et de clarifier tous les détails avant de m’engager dans une relation d’affaires. Et des détails il y en a ! Des ententes, procédures, cadres de réalisation, etc., et cela, autant pour valider pour nous si l’entente est viable et souhaitable que pour l’autre entreprise, à savoir s’il y a un bon match. Puis, pour les relations existantes, je ne prends rien pour acquis. J’ai appris que se parler et se faire entendre sont des clés maîtresses de la négociation et des échanges, mais que cela est impossible sans appréciation mutuelle et respect.

Mes apprentissages seront peut-être des conseils pour ceux qui veulent mieux réussir au travail. Tout en se respectant, garder la vision claire et éviter d’encoder en eux les mots et phrases qui paraissent anodins, mais qui sont assassins de résultats faciles. Les croyances et valeurs sont nos moteurs d’action souvent inconscients.

Il est fréquent que l’on pense croire une chose, mais qu’en fait, on soit sous l’influence d’une autre chose captée ou ingérée dans notre vie. Il est bien de visiter de quoi nous sommes faits pour savoir quels sont nos saboteurs internes et pour les changer. Autant que de savoir ce que nous voulons afin de projeter ce que nous deviendrons.

Aujourd’hui, malgré toutes les confrontations et déceptions vécues dans le passé, je suis heureuse quand se produisent des résultats positifs, qui m’amènent à des changements de pensées, de croyances et de comportements ; ce qui me permet de m’améliorer moi-même et d’améliorer mon entreprise. Tout cela a ramené tout d’un coup le focus sur l’essentiel : ce qui est important pour IDCom, c’est l’être humain dans l’entreprise, sa présidente incluse, et que l’entreprise soit au service de l’être humain.

Je sais maintenant avec certitude que ce qui est réussi n’est pas seulement évalué en termes financiers, mais en termes d’accomplissement de soi. Et à ce titre, je peux dire sans hésiter que j’ai vécu de grandes réussites et que bien d’autres se réaliseront dans le futur.

Isabelle David, présidente d’I.D. Com International inc., est une référence internationale incontournable en Programmation Neurolinguistique (PNL) et en hypnose Ericksonienne. La «Grande Dame de la PNL» est une animatrice et formatrice chevronnée ainsi qu’une coach et conférencière très appréciée pour sa valeur ajoutée. Profondément intéressée par le développement du plein potentiel de chacun et par l’actualisation de soi, elle a créé des programmes et coaché des dirigeants et des équipes de direction pour de nombreuses entreprises. Sensible aux préoccupations professionnelles et défis des affaires, elle mobilise les personnes vers l’atteinte de meilleurs résultats. Elle est auteure d’articles, de matériels didactiques et pédagogiques, de DVD, de CD et des livres “Être au cœur de la PNL”, aux Éditions Quebecor en 1999, et “Des mots et des phrases qui transforment. La PNL appliquée au monde de l’éducation”, aux Éditions Chenelière McGraw-Hill 2003

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